Bonjour à toutes et à tous






" le voyage pour moi, ce n'est pas arriver, c'est partir. C'est l'imprévu de la prochaine escale, c'est le désir jamais comblé de connaître sans cesse autre chose, c'est demain, éternellement demain"
Roland Dorgelès







07 - Page Pratique Amérique Centrale et passage Colombie/Panama




1 - La traversée Colombie/Panama ou les 500 km les plus chers d’Amérique …


Comme beaucoup avant nous, nous prenons contact avec Mr et Mme LA ROTA pour préparer notre transfert, et surtout celui de Pégase au Panama. 

Enlace Caribe Ltda
Mr et Mme LA ROTA Ernesto et Sonia
Calle 28 - Oficina 103
Manga - Cartagena
(N 10° 24.550 - W 75° 32.300)



Lors d’un premier rendez-vous, il nous informe de la procédure à suivre et surtout le coût … 

Prix au m3 : 68,75 $ - soit pour nous 32,4 m3 x 68,75   =   2.227,50 $

Auquel s’ajoutent diverses taxes (locale, port, douane) =        440,00 $

Et la commission de l’agence Enlace Caribe                 =          170,00 $
                 --------------
Soit un total de                                                                2.837,50 $ 

Que l’on doit régler en pesos colombiens : ne pas oublier de s’y prendre un peu à l’avance pour retirer la somme : nous avons failli ne pas les avoir à temps !!!

Les documents nécessaires pour effectuer les formalités sont :
- passeport et permis de conduire (nous avons présenté l’international) du conducteur principal
- certificat d’assurance rapatriement du conducteur principal (si accident sur le port)
- carte grise du véhicule et le document d’importation temporaire remis à l’entrée en Colombie


Lorsque le navire de la compagnie Wallenius Wilhelmsen a été sur le point d’accoster - comme il devait accoster le dimanche, tout a été fait le vendredi) nous avons rempli divers documents au bureau de Mr LA ROTA, puis Alain - vêtu d’un pantalon et de chaussures fermées : interdiction de short et de tongs sur les ports ! - a emmené Pégase au port : sur place, c’est Mme LA ROTA qui a fait toutes les démarches.

Finalement, le navire ayant un peu de retard, c’est seulement le mercredi matin qu’à lieu la fouille du véhicule par la police anti-narcotique. Il a fallu vider entièrement la soute, ouvrir tout … et le tout en plein soleil ! Là encore, c’est Mme LA ROTA qui s’est occupée des démarches puis de la mise des scellés.

Le jeudi matin, nous avons pris l’avion - tout de même moins cher que la croisière aux San Blas (550 $ par personne) mais malgré tout 453 $ chacun (on ne peut guère réserver à l’avance …) A l’enregistrement, nous avons une discussion « tendue » : la personne nous affirme que pour rentrer au Panama, il faut avoir un vol retour ! Nous finissons par nous arranger sur une « réservation » (donc sans payer) puis nos bagages de soute sont fouillés !

Enfin, nous partons ; arrivés au Panama, nous passons sans problème la migration (elle se fiche complètement de savoir combien de temps nous allons rester et comment nous allons repartir !)

De l’aéroport, il faut ensuite aller - en bus dans notre cas pour 5 $, car les taxis demandaient entre 25 et 30 $ la course ! - jusqu’à Panama City puis prendre le bus jusqu’à Colon où nous posons nos sacs à l’Hôtel Internacional avant de courir prendre l’assurance pour le camping-car, nécessaire pour le sortir du port :

KAM Seguros
Centro commercial 4 Altos - Colon 

Prix pour 1 mois : 15 $

Le lendemain, nous sommes près à partir à 7 h, direction le port. Arrivés au bureau de la Cie Wallenius Wilhelmsen : 

- le bateau ne sera terminé de décharger que dans l’après-midi donc nous ne pourrons avoir le véhicule dans la journée …

- il faut payer 80 $ à la Cie pour obtenir le fameux Bill of Landing (somme dont nous n’avions entendu parler ni dans les blogs de nos prédécesseurs, ni chez Mr La Rota …)

- les différents documents sont cependant faits auprès des douanes qui se situent complètement à l‘extérieur du port, donc encore un trajet en taxi ! Il leur faut des photocopies en triple exemplaires de : 

- l’assurance du véhicule
- le permis de conduire international du conducteur principal
- le passeport du conducteur principal
- la carte grise 

Il faut régler en plus : 2,50 $ pour l’accès au port + 20 $ pour la personne qui vous pilote d’un bureau à l’autre, sans compter les frais de fumigation pour 3 $ …  

Nous sommes plutôt démoralisés à notre retour à l’hôtel où nous devons donc passer une seconde nuit (39 $ x 2) mais le samedi matin, nous sommes à nouveau au port dès 8 h ; nous récupérons enfin le fameux bill of landing auprès de la Wallenius, puis de nouveau la douane du port et enfin le règlement de 67 $ de frais de port et enfin, à 11 h nos véhicules sont amenés à l’entrée du port … ils sont intacts : nous sommes vraiment soulagés ! 

Avant de partir, discussion plus qu’animée avec le fameux "aide" Aldo, qui se contente en fait d’amener de bureau en bureau et puis "débrouillez-vous" et qui nous réclame encore 30 $ : on arrive à transiger à 20 $, et nous partons enfin !!!

Si l’on fait un récapitulatif, pour un camping-car de 32, 4 m3 (6m x 2,70 x 2,0)

- somme réglée à Mr LA ROTA  2.837,50 $
- somme réglée au port de Manzanillo au Panama            152,50 $
- « aide » sur le port     40,00 $
- billets d’avion pour deux   906,00 $
- 6 nuits d’hôtel à Cartagena     310,00 $
- 2 nuits à Panama       78,00 $
Total  4.324,00 $

(Je vous passe le prix des multiples photocopies nécessaires aux différents bureaux et les déplacements en taxi dans le port de Panama). 

Bien sur, on peut trouver un hôtel moins cher sur Cartagena (mais la ville est très touristique …) et le nombre de jours peut être inférieur (le bateau n’avait pas de retard, mais il n’a pu accoster avant le mercredi, et comme la fouille anti-narcotique n’a lieu que lorsque le navire est à quai et qu’il faut être présent …)

Encore un détail : on n'a plus que 5 jours pour retirer son véhicule du port de Colon ; au-delà, il y a des frais supplémentaires de gardiennage ... 

Heureusement, au final, notre petit Pégase s’en est tiré sans égratignure et çà, ce fut un réel soulagement car d’autres ont eu parfois quelques soucis de ce côté-là. Enfin, nous voilà maintenant dans la partie nord du continent : il ne nous reste plus qu’à le remonter ! 



2 - Page pratique Panama 



Nous en dirons peu de chose étant donné que nous n’avons fait que le traverser !


Monnaie :

La monnaie s’appelle le balboa, mais en réalité c’est le dollar américain : c’est en tout cas ce que donnent les distributeurs ! Ensuite, il y a effectivement la petite monnaie qui peut être soit des balboa, soit des cents américains.


Assurance :

Elle était obligatoire pour pouvoir retirer Pégase du port donc, comme d’autres avant nous, nous sommes allés à :

Kam Seguros - Centre Commercial 4 Altos à Colon 
N 09° 20.250
W 79° 53.136

où nous avons pu souscrire une assurance pour 1 mois.


Routes :

Nous sommes restés presque exclusivement sur la Panam de Panama City jusqu’à la frontière du Costa Rica : son état est correct hormis quelques tronçons un peu « fatigués » ; tantôt goudronnée, tantôt en béton, ce sont surtout ces parties béton qui sont abîmées ; Elle est à 2 x 2 voies de Panama City jusqu’à Santiago avant de devenir 1 x 1 voie jusqu’à David où à nouveau elle passe à 2 x 2 voies jusqu’à la frontière.

L’autoroute Colon/Panama City est lui aussi en très bon état.

Il y a beaucoup de péages sur les rocades autour de Panama City, autrement, les autres voies sont gratuites.

La circulation est un peu chaotique dans les grandes villes mais autrement, pas de problème ; on a trouvé la conduite des Panaméens beaucoup plus calme et « courtoise » que celle d’Amérique du Sud. Ils jouent beaucoup moins du klaxon également ! 

Enfin, il y a beaucoup moins de camions : c’est très frappant après la Colombie et beaucoup plus reposant !


Gaz :


Nous avons pu faire remplir notre bouteille française à : 

Usine Panagas
El Roble - juste après Aguadulce en venant de Panama City
N 08° 09.039
W 80° 41.040

Et notre bouteille argentine à :

Usine Tropigas 
14 km avant David
N 08° 25.039
W 82° 21.319



Sécurité :

Nous n’avons rencontré aucun problème et n’avons pas éprouvé de sentiment d’insécurité (hormis à Colon et quelques quartiers de Panama City) ; pas de problème non plus avec la police mais nous avons été contrôlé 3 fois de suite, le même jour entre Panama City et Santiago par les douanes : ils ne nous ont demandé que les papiers des douanes de Colon.



Wifi :


Peu de wifi libre mais nous avons trouvé des locutorios en ville.



Coût de la vie :


Le Panama connait actuellement une croissance à deux chiffres : mis à part quelques quartiers comme à Colon et à Panama City, le pays ne donne pas globalement une impression de pauvreté ; beaucoup de magasins, de belles maisons, de grosses voitures, etc … mais dans les petits magasins, il est possible de faire ses courses relativement bon marché. Le prix du diesel est à près d’1 $ le litre. Nous n’y sommes cependant pas restés suffisamment longtemps pour pouvoir donner beaucoup d’infos à ce sujet.





3 - Page Pratique Costa Rica



Assurance :


Obligatoire à la frontière avec un minimum de 3 mois, ce qui est beaucoup pour un si petit pays ! 



Routes :


Beaucoup de routes en bon état, quelques unes un peu plus fatiguées, mais pas de problème ; une particularité du Costa Rica, le « puente angosto » qui nous rappelle le « single track » d’Ecosse : un côté doit céder le passage car il est à une seule voie, mais uniquement sur les routes secondaires. 

Des camions, mais rien de comparable à la Colombie ! Et toujours une conduite courtoise, comme au Panama : c’est vraiment agréable !



Campings :


Nous n’y sommes pas allés car il est assez facile de trouver des endroits où s’arrêter.



Wifi :


Comme toujours, peu de wifi libre, mais des locutorios un peu partout.



Coût de la vie :


Nous avons trouvé le pays cher et surtout dans les lieux touristiques ; il vaut mieux faire ses courses ailleurs qu’au bord des plages ! Il y a en effet pas mal de touristes, même en cette saison, et les prix s’en ressentent. Même chose pour le prix du diesel ! 






4 - Page pratique Nicaragua


Juste quelques informations car nous ne sommes pas restés suffisamment longtemps pour en dire plus …



Frontières : 

Contrairement à tous les autres pays où nous sommes allés jusqu’à présent, il faut payer pour entrer au Nicaragua : Fumigation : 3 $ + impôt municipal : 1 $ par personne + immigration 12 $ par personne + impôt (?) 5 $ + assurance 1 mois pour Pégase : 12 $ : ouf !!!
Et pour sortir : 3 $ 
Pour le peu de jours où nous y sommes restés, çà fait un peu cher !



Assurance :

Obligatoire à la frontière, et se paie en dollar, comme d’ailleurs toutes les taxes diverses ci-dessus !



Routes :

Toutes celles que nous avons prises étaient dans un excellent état : nous n’avons eu aucun problème d’autant qu’il y a peu de circulation. Comme au Costa Rica et au Panama, nous avons trouvé les conducteurs courtois et calmes au volant !



Wifi :


Peu de wifi libre mais des locutorios dans les villes.



Coût de la vie : 


Après le Costa Rica, le pays est bien meilleur marché pour les achats de tous les jours et pour manger, mais notre séjour a été trop court pour en dire plus …





5 - Page pratique Honduras


Nous ne dirons évidemment pas grand-chose, étant donné la brièveté de notre séjour …



Frontière :

Nous réglons donc 240 lampiras (soit 10 euros environ) à l’immigration et 35 $ pour Pégase et faisons comme d’habitude tout un tas de photocopies …
Là encore, il faut avoir quelques dollars sur soi où passer par un changeur car il n’y a pas de distributeur CB


Assurance :

Pour la première fois, pas d’assurance ! C’est un peu bizarre de rouler sans …



Routes  :

Concernant celles que nous avons prises : 

- pas très bonne depuis la frontière jusqu’à Tegucigalpa : beaucoup de trous à contourner et des zones « en chantier » et qui semblent l’être depuis longtemps !

- de Tegucigalpa à la frontière : bien meilleure et on peut la considérer comme très correcte.

Par contre, nous retrouvons la conduite sud-américaine que nous avions un peu oubliée dans les trois derniers pays traversés … il faut dire que Tegucigalpa est une grande ville de plus d’1 million d’habitants !


Wifi :

Nous avons trouvé un locutorio sans problème à Nacaomé et pas plus onéreux qu’au Nicaragua. Il y a de grande chance pour qu’il en soit de même partout.



Coût de la vie :

Nous n’en n’avons évidemment aucune idée, mais notre seul repas et les boissons ont été bon marché (du même ordre qu’au Nicaragua).





6 - Page pratique Salvador


Nous ne dirons évidemment pas grand-chose, étant donné la brièveté de notre séjour …



Frontière :

L’entrée est gratuite, tant pour nous que pour Pégase ; la douane n’est pas située immédiatement à la frontière et il faut être patient ! Nous étions sous un hangar de tôle avec un soleil de plomb : vraiment agréable ! 



Assurance :

Obligatoire et se prend à la frontière et les douaniers la demande pour délivrer le transito du camping-car.



Routes  :


Concernant celle que nous avons prise, tout à fait correcte de bout en bout. 



Monnaie :


On retrouve une nouvelle fois le dollar !




7 - Page pratique Guatemala




Nous en dirons peu de choses étant donné la brièveté de notre séjour ...


Les routes :

Les principales sont en bon état par contre, le réseau secondaire est parfois bien fatigué ! Et sur l’altiplano elles sont de surcroit bien pentues !!! 



L’assurance :

Une nouvelle fois, nous roulons sans assurance ce qui ne nous rassure pas trop …



Les Sites : 

Ils ne sont pas bon marché … pour les étrangers ! Après Iximche, nous avons donc sélectionné ceux que nous souhaitions voir particulièrement. Et comme dans le reste de l’Amérique latine, les explications sur place sont souvent très succinctes. 



Les campings :


Même si certains sites ne permettent pas d’y rester pour la nuit, nous avons toujours trouvé, comme partout en Amérique latine, des lieux de stationnement pour la nuit.



Le gaz :


Nous avons pu faire remplir notre bouteille de gaz argentine à San Benito, près de Flores, à l’usine tropigaz dont voici les coordonnées :

N 16° 55.092
W 89° 42.245



Coût de la vie :


Nous ne sommes pas restés très longtemps, mais nous avons trouvé les petits restaurants bon marché ; on peut également y faire ses courses de tous les jours à peu de frais.





8 - Page Pratique Belize



Là encore, juste quelques observations car nous n'y restons que quelques jours.



Passage de frontière :

L'entrée se fait très rapidement et sans frais, mais ce n'est pas le cas à la sortie où il faut acquitter une taxe de 30 euros pour nous deux !


Assurance :

Elle ne semble pas obligatoire, mais nous avons préféré la prendre près de la frontière : çà n'est pas donné : 23 US$ pour 15 jours !!!


Langue :

Donc nous voilà en pays de langue anglaise … et nous avons bien oublié la langue de Shakespeare depuis un an et demi d'espagnol ! Heureusement, beaucoup parlent l'espagnol et on arrive malgré tout à se faire comprendre !


Routes :

Il n'y en a pas 50 ! Nous sommes restés sur les axes goudronnées car les pistes, avec les pluies, n'étaient vraiment pas «carrossables», ainsi, pour revenir de Dangriga vers Belize City, nous avons du faire le détour par Belmopan … heureusement, le pays est petit.


Climat :

Franchement, le Belize n'est pas conseillé pendant la saison des pluies : température chaude et lourde, moustiques et insectes en tout genre ; au final, nous garderons un souvenir «cuisant» de notre passage !!!


Campings :

Hormis celui de San Ignacio qui avait un prix raisonnable (8 euros la nuit), les autres étaient plutôt chers, surtout au vu des prestations.


Coût de la vie :


Plus onéreux qu'au Guatemala, mais nous avons fait peu d'achats ... …



9 - Page Pratique Mexique


Douanes :


A l’entrée au Mexique on nous donne automatiquement 180 jours et la possibilité d’opter, pour le véhicule, de l’y laisser 10 ans avec autant de sortie/entrée sur le territoire que l’on souhaite : étant donné le coût, nous choisissons cette option.

Nous réglons au total : 647,35 pesos + 295,00 pesos (soit environ 56 euros) pour le véhicule et le conducteur principal, le passager pouvant régler cette 2ème taxe quand il le souhaite, avant sa sortie du pays.



Assurance : 


Il n’y en a pas à la frontière ; nous nous arrêtons donc à Chetumal, la première ville importante pour en prendre une chez Mapfre pour environ 24 euros par mois.



Routes :

Les grandes routes du Yucatan sont sans problèmes : plates, larges et en bon état ; le réseau secondaire est plus étroit mais correct, son seul inconvénient étant le nombre impressionnant de topes à chaque village !
Dans le Chiapas, nous n’avons pas testé le réseau secondaire, mais les routes principales (hors autopistas) sont étroites, sinueuses et pas toujours en très bon état.
Dans le nord, relativement moins de « topes » routes correctes sauf dans la montagne où on retrouve des routes plus étroites, sinueuses et souvent beaucoup plus « fatiguées ».
On peut dire qu’en général le réseau est correct mais que de « topes » partout : il faut dire que les Mexicains roulent vite et qu’il n’y a pas de police de la route ; c’est donc le seul moyen de les faire ralentir mais c’est vraiment pénible !!!


Campings :

Nous n’en avons quasiment pas utilisé donc … mais il est très facile - hors grandes agglomérations - de trouver où bivouaquer dans les petites villes, près des sites, etc… Nous avons également « testé » quelques Wal-Mart, ce qui peut dépanner.

Pour visiter Mexico, nous sommes allés au trailer park de Tepotzotlan (à 1 h 30 de Mexico en transport en commun) : très calme et nous étions seuls !

A une cinquantaine de km au nord de Veracruz, près de Nautla, il y a également quelques rv park : comme à Tepotzotlan, nous y étions seuls !



Banques :

Premier pays d’Amérique latine où les banques locales prennent systématiquement  des frais lors des retraits aux ATM (chaque état en fixe le montant donc c'est un peu variable) : ils ne sont pas trop élevés mais …


Wifi :


Très peu de wifi libre mais toujours des petites boutiques internet où l’on peut se connecter pour pas cher.



Coût de la vie :

Hormis dans le Yucatan, très touristique, nous n’avons pas trouvé la vie chère au Mexique ; on peut y manger pour 5 euros à deux (avec les boissons !) un peu partout ; les achats de la vie courante sont également plutôt bon marché.

La seule chose qui nous a paru assez onéreuse, ce sont les péages des autopistas qui sont d’ailleurs relativement peu fréquentées. En règle générale, elles sont payantes quand il y a une autre route principale gratuite qui fait à peu près le même trajet ; ceci n’est cependant pas tout à fait vrai autour de Mexico.

De la même façon, les sites touristiques du Yucatan sont plus chers que les autres dans le reste du pays et il y a le tarif « estranjeros » que l’on ne retrouve pas ailleurs.



Départ vers l’Europe :


Il est possible de faire rapatrier son véhicule vers l’Europe à partir du port de Veracruz, ce que nous avons fait à bord d’un Ro-ro de la K Line. La compagnie  Wallenius fait également le trajet, mais il y avait un arrêt de 15 jours à Colon au Panama avec changement de bateau, ce qui nous a inquiété, peut-être à tort).

Frais à Veracruz pour le transitaire et port (douanes, etc ..) : 5500 pesos (soit environ 330 euros)
Coût de la traversée : 1.705,70 euros
Frais à Zeebruge pour le transitaire (obligatoire car la Kline n’y a pas de bureau) et le port (douanes, etc …) : 174,36 euros.

Nous avons récupéré Pégase en bon état, sauf le lanterneau arrière fracturé : nous n’avons pas constaté de vol donc on suppose que l’intrusion n’a pu avoir lieu pour une raison quelconque …


  

   

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